J’utilise Figma concevoir des maquettes, prototypes, design systems et UI Kits, ce qui permet aux chefs de projet de visualiser clairement l’avancement, de commenter et de partager leurs retours. Les développeurs bénéficient également d’un accès direct aux interactions et aux spécifications, facilitant la mise en œuvre. Avec FigJam, je structure les parcours utilisateurs, j’anime des ateliers collaboratifs et je prépare des supports de présentation UX, afin d’aligner les équipes et d’accélérer la prise de décision.

À noter : j’ai auparavant travaillé avec Adobe XD, mais l’outil me paraissait trop lourd au quotidien. Ce passage vers Figma s’est révélé positif, d’autant plus qu’Adobe XD semble aujourd’hui être un projet en perte de vitesse.

Outils de collaboration et de visualisation pour structurer les parcours utilisateurs, animer des ateliers ou préparer des supports de présentation UX. Leur partage facile facilite la compréhension des flux et la co-construction avec les équipes.

Retouche photo, détourage et adaptation visuelle : un logiciel que j’ai utilisé pendant plus de 15 ans sur des projets print et web, même si mon usage est aujourd’hui plus ponctuel.

J’utilise Affinity Photo comme alternative à Photoshop, principalement pour des retouches simples ou des projets personnels. Plus léger et plus abordable, il évite aussi les contraintes d’IA ou de cloud intrusif. Ce choix me permet de conserver un flux de travail efficace tout en restant concentré sur l’essentiel.

Outil incontournable dans mon parcours, Illustrator est celui que j’affectionne particulièrement pour la création de logos, pictogrammes, iconographies vectorielles et illustrations. Sa précision et sa souplesse en font une référence que j’utilise aussi dans des projets print et branding, où la qualité du rendu vectoriel est essentielle.

Affinity Designer est un outil vectoriel polyvalent, qui permet de travailler aussi bien en pixel qu’en vectoriel. Je l’utilise pour des projets où la flexibilité et la précision sont importantes, tout en évitant les contraintes d’abonnement Adobe. Sa légèreté et sa rapidité en font un outil idéal pour des créations print, branding ou illustrations personnelles.

Logiciel de création de polices vectorielles, que j’utilise pour concevoir des glyphes ou adapter des typographies existantes aux besoins d’un projet.

Pour l’utilisation, je privilégie des polices minimisant les « tofu » (caractères manquants), afin d’assurer une bonne lisibilité et compatibilité multilingue dans les interfaces. Les bibliothèques Adobe Fonts et Google Fonts me permettent d’accéder facilement à un large choix de typographies fiables et adaptées à différents supports, tout en assurant leur intégration fluide dans les projets.

J’utilise InDesign pour les projets print, tels que catalogues, kakemonos, cartes de visite ou brochures. Je prépare et finalise les fichiers en veillant à ce qu’ils soient prêts pour l’impression, en respectant la mise en page, les gabarits et les contraintes techniques.

Affinity Publisher est une alternative solide à InDesign, compatible avec l’édition de PDF. Je l’utilise pour concevoir des documents print ou des PDF interactifs, en respectant les contraintes de mise en page, de formats et de production, afin de livrer des fichiers prêts à l’impression ou à la diffusion numérique.

Maîtriser HTML et CSS me permet d’anticiper la faisabilité des interfaces et d’intervenir en phase d’intégration lorsque nécessaire, tout en restant attentif aux retours des développeurs front. Cette compétence favorise un meilleur alignement entre le design et sa mise en œuvre, tout en optimisant la fluidité des projets.

Éditeur de code léger et polyvalent que j’utilise pour mes projets personnels et pour intervenir ponctuellement sur l’intégration HTML/CSS. Il me permet également d’éditer directement des fichiers SVG lorsque nécessaire. Ses extensions et sa flexibilité facilitent la vérification de la faisabilité des designs et la communication avec les développeurs front, tout en me permettant de coder mes propres projets de manière autonome.

J’utilise WordPress pour créer des sites web, généralement sans recourir à des plugins, en codant directement les fonctionnalités nécessaires. Cette approche me permet de garder le contrôle total sur le code, d’optimiser les performances et de garantir une solution sur-mesure adaptée aux besoins du projet.

J’utilise IcoMoon pour générer des polices d’icônes personnalisées à partir de pictogrammes vectoriels, avec un contrôle précis des exports et de la compatibilité. Sa flexibilité et sa légèreté en font un outil idéal pour adapter les icônes exactement aux besoins du projet.

Font Awesome me sert principalement lorsque je dois intégrer rapidement des icônes standardisées à un projet web. Pratique et largement supporté, il permet un gain de temps, même si je privilégie IcoMoon lorsque je cherche plus de personnalisation et de contrôle sur les icônes.

WhoCanUse est un outil en ligne que j’utilise pour vérifier la lisibilité des contrastes entre couleurs, en tenant compte des différents types de déficiences visuelles. Indispensable pour garantir un bon niveau d’accessibilité, il me permet de concevoir des interfaces inclusives et conformes aux bonnes pratiques. Même si Figma propose depuis quelques mises à jour un outil similaire, WhoCanUse reste plus simple à partager et plus visuel, ce qui facilite les échanges avec les clients, chefs de projet et équipes.

J’utilise Confluence pour centraliser et partager les spécifications visuelles au sein des équipes produit. J’y documente de manière structurée les règles UI, les composants et les décisions de design, souvent en lien direct avec les développements en cours. Cet usage facilite l’alignement entre designers et développeurs et assure la cohérence des interfaces à travers les projets.

Pour l’utilisation, je privilégie des polices minimisant les « tofu » (caractères manquants), afin d’assurer une bonne lisibilité et compatibilité multilingue dans les interfaces.